Jamey Johnson est de retour !

Et c’est sans aucun doute l’évènement de ce numéro. J’allais commencer par me contenter de chroniquer son album, puis, dans la foulée, de l’installer  en Une et, finalement, de rédiger une double page sur sa carrière, ce qu’il mérite oh combien !

Pour le reste, les chroniques d’albums restent bien évidement le cœur du magazine. Tant de sujets ont été abordés que, là encore, je crains bien d’avoir fait le tour de la situation. La rubrique ‘‘Saga des marques’’ que j’aimais aussi beaucoup a quasiment épuisé toutes les entreprises (américaines) et je ne me vois pas rééditer telle ou telle sous un jour nouveau (ou pas...).

Comment l’obligation de passer le magazine au tout numérique est devenu une nécessité  ? Outre l’aspect financier (non négligeable puisque l’équilibre dépenses/recettes est à nouveau dans le rouge) ; la pression - depuis dix sept ans, je vous le rappelle - était loin d’être négligeable. Devoir, tous les deux mois, rendre une copie de pas moins de 32 pages, est à la longue (par moments), devenu une contrainte et pèse aussi dans la balance de l’interuption imminente. Je vais la repousser jusqu’au numéro 105 pour ne léser aucun abonnés. Vous serez donc pour les ‘‘fidèles parmi les fidèles’’ à devoir vous réabonner pour cinq numéros puis pour quatre etc...